Miriem Bensalah Chaqroun, “Les entreprises marocaines portent un intérêt considérable à l’investissement en Côte d’Ivoire”

24 Février 2014

"Je me réjouis de savoir qu’au cours des six premiers mois de l’année 2013, le quart des investissements directs étrangers du Maroc a été réalisés dans votre pays", a indiqué Mme Bensaleh dans une allocution devant SM le Roi à l’ouverture du Forum économique Ivoiro-marocain.

Elle a, à cette occasion, réaffirmé la disposition des entreprises marocaines à partager le savoir-faire accumulé avec leurs homologues ivoiriens dans le cadre d'entreprises ivoiro-marocaines en co-développement ou en co-localisation.

"Votre pays attire également les investisseurs marocains en raison de son économie libérale basée sur une vision claire, puisqu’il a mis en place un ambitieux programme de relance économique pour la période 2011-2015", a ajouté Mme Bensaleh, notant que le Maroc "s'attache à renforcer ses relations avec la Côte d'Ivoire en jetant les ponts du rapprochement et de la coopération Sud/Sud". Et d'assurer que cette coopération devra également mettre l’accent sur le développement de ressources humaines des deux pays, soutenant que "le Maroc serait honoré de partager avec les frères ivoiriens une expérience réussie de 40 en matière de formation professionnelle".

Mme Bensaleh Chaqroun n’a pas manqué de souligner que les vigoureuses réformes structurelles et sectorielles entreprises par la Côte d'Ivoire lui ont permis d'atteindre rapidement une croissance économique sans précédent : 8,3 pc en 2013 et un taux à deux chiffres prévu en 2014. "Nous ne pouvons que nous réjouir de l'objectif ambitieux que s'est fixé la Côte d'Ivoire de rejoindre le cercle des pays émergents à l'horizon 2020. Une échéance que nous, entreprises marocaines, avons le souhait et le devoir d'accompagner", a-t-elle poursuivi.

"La Côte d’Ivoire dispose d’atouts nombreux tels qu’une main d’oeuvre qualifiée, une abondance de matières premières, de bonnes infrastructures, des incitations fiscales prévues notamment dans le cadre du nouveau code des investissements, un climat des affaires qui s’affine en permanence et une intégration économique régionale de plus en plus consolidée", a rappelé la présidente de la CGEM.

Et de conclure que "la Côte d’Ivoire et le Maroc ont la même ambition de construction de notre continent et nous pouvons y travailler, ensemble, main dans la main".

(MAP).

"Je me réjouis de savoir qu’au cours des six premiers mois de l’année 2013, le quart des investissements directs étrangers du Maroc a été réalisés dans votre pays", a indiqué Mme Bensaleh dans une allocution devant SM le Roi à l’ouverture du Forum économique Ivoiro-marocain.

Elle a, à cette occasion, réaffirmé la disposition des entreprises marocaines à partager le savoir-faire accumulé avec leurs homologues ivoiriens dans le cadre d'entreprises ivoiro-marocaines en co-développement ou en co-localisation.

"Votre pays attire également les investisseurs marocains en raison de son économie libérale basée sur une vision claire, puisqu’il a mis en place un ambitieux programme de relance économique pour la période 2011-2015", a ajouté Mme Bensaleh, notant que le Maroc "s'attache à renforcer ses relations avec la Côte d'Ivoire en jetant les ponts du rapprochement et de la coopération Sud/Sud". Et d'assurer que cette coopération devra également mettre l’accent sur le développement de ressources humaines des deux pays, soutenant que "le Maroc serait honoré de partager avec les frères ivoiriens une expérience réussie de 40 en matière de formation professionnelle".

Mme Bensaleh Chaqroun n’a pas manqué de souligner que les vigoureuses réformes structurelles et sectorielles entreprises par la Côte d'Ivoire lui ont permis d'atteindre rapidement une croissance économique sans précédent : 8,3 pc en 2013 et un taux à deux chiffres prévu en 2014. "Nous ne pouvons que nous réjouir de l'objectif ambitieux que s'est fixé la Côte d'Ivoire de rejoindre le cercle des pays émergents à l'horizon 2020. Une échéance que nous, entreprises marocaines, avons le souhait et le devoir d'accompagner", a-t-elle poursuivi.

"La Côte d’Ivoire dispose d’atouts nombreux tels qu’une main d’oeuvre qualifiée, une abondance de matières premières, de bonnes infrastructures, des incitations fiscales prévues notamment dans le cadre du nouveau code des investissements, un climat des affaires qui s’affine en permanence et une intégration économique régionale de plus en plus consolidée", a rappelé la présidente de la CGEM.

Et de conclure que "la Côte d’Ivoire et le Maroc ont la même ambition de construction de notre continent et nous pouvons y travailler, ensemble, main dans la main".

(MAP).