Une délégation économique et commerciale danoise est attendue au Maroc, du 29 octobre au 2 novembre, pour explorer les potentialités d'exportation et les perspectives d’établir des joint-ventures et des partenariats d’affaires, indique-t-on auprès des organisateurs.


"Il existe de nombreuses possibilités de faire des affaires dans le pays et les entrepreneurs locaux recherchent le savoir-faire des marchés de haute technologie tels que le Danemark. L'économie du pays dépend fortement des secteurs de l'agriculture, de la pêche, de l'alimentation et de l'énergie", souligne le cabinet de consulting Andersen Consult, à l’origine de cette initiative.

Placée sous le signe "des solutions durables pour l’industrie agroalimentaire", cette mission est organisée en collaboration avec l’ambassade du Danemark au Maroc, et l’appui de l'Agence danoise pour le développement international (Danida), l’organisme officiel d'aide au développement rattaché au ministère des Affaires étrangères.

"La mission est une occasion unique d'explorer ce marché très prometteur pour la technologie et le savoir-faire danois et d'identifier les opportunités d'exportation dans l'industrie alimentaire à croissance rapide", explique le cabinet, qui fait état d’un intérêt de plus en plus croissant des entreprises danoises pour le Maroc.

"L'emplacement du Maroc sur la côte nord-ouest de l'Afrique peut être considéré comme un avantage commercial pour les entreprises européennes, car il est facilement accessible à seulement 14 km au sud de la côte espagnole, tout en servant de passerelle vers d'autres marchés africains", relève la même source.

"Le Maroc a un ensemble d’objectifs ambitieux pour la croissance verte impliquant le développement de solutions durables et efficientes en énergie pour l'industrie agroalimentaire. Par conséquent, le potentiel pour les solutions danoises de technologie alimentaire est fort", précise le cabinet.

Et de conclure qu’avec une population de près de 34 millions de personnes, le Royaume est doté d’une "infrastructure d'un niveau très élevé", dont 17 aéroports internationaux, 38 ports, dont 13 reliés au commerce extérieur et un réseau routier toujours en expansion, ce qui a naturellement amélioré le climat des affaires et facilité l'accès aux opportunités d'exportation.

 

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